Des nouvelles des Hautes Pyrénées
Voici enfin des nouvelles de notre périple pyrénéen de ce week-end.
Je suis arrivé en premier au gîte qui accueillera le camp de cet été à Héchettes. Sont arrivés ensuite Gounel et Marie du Lot, tout émoustillés de leur réussite à l’examen de CPT, puis Flavian de Toulouse, José de chez le dentiste, et enfin Guston et Dominique de Carcassonne.
Le plan de bataille de la journée du lendemain s’est fait autour de l’apéro et de spaghettis à la Bolognaise (façon Kinou, pas aussi élaborés que façon Stoche, mais mangeables).
Samedi matin donc, nous attaquons sur 2 fronts : le premier sera la désob par Marie et Gounel de l’accès au puits sans fond qui fait fantasmer Gounel, le second sera l’entrée d’un trou par José Dominique et Kinou, qui se situe à une vingtaine de mètres.
Guston, toujours souffrant de son épaule, assure la navette entre les deux chantiers.
A la pause de midi,
l’accès au puits sans fond se précise, et nous l’équipons Gounel et moi avec une certaine fébrilité. Dernier spit et hop, descente vers… un palier à -15 environ, puis ressaut de 3-4m sur la même corde et, hélas, pas d’émerveillement au regard de la suite. Celle-ci se présente sous une petite voute qui a accueilli gentiment tous les déblais venus d’en haut. Gounel y croit, commence à déblayer, mais pas de place pour stocker, et y’a quelques kilos de gravats. Nous remontons pour que Marie et José puisse se faire une idée à leur tour, mais le verdict est le même.
Retour à la maison chaleureuse où nous tentons de nous réconforter,
rejoins par Christiane et Gaby.
Le dimanche, une partie du groupe va lever la topo et continuer la désob de l’autre cavité, pendant que l’autre ira visiter la station de Nistos.
Retour sur Carca avec l’envie de revoir le fond, sait-on jamais ? Et continuer le MA7 (lire massette) qui commence à se livrer petit à petit.
Ceci dit, le gîte est très accueillant, vivement le camp.