2017, l'année des boucles

On ne parle pas de mes cheveux mais des explos qui ont eu lieu sur le Cotiella cet automne. Même si je n'ai pas pu participer aux explos d'octobre 2017, les copains lozèriens (Guillaume, Guillaume et Roger) m'ont envoyé les données topo qu'ils n'ont pas manqué de relever.

A leurs dires, l'année n'avait pas été très fructueuse. Dès les premiers jours du camp, ils se rendent compte que les deux terminus de 2017 (vers -440) jonctionnent entre eux via des méandres fossiles. Au milieu de ce méandre, une escalade est faite sans grand résultat. Autant dire que le moral était au plus haut...

Durant la suite du camp, ils ont repris un des points d'interrogation vers -100 qui jonctionne lui aussi avec la série de puits connue. De plus, c'est un accès plus complexe en cheminement et qui ne sera donc pas utilisé. Du coup, ils reprennent les prospections, revisitent des entrées connues...

Le dernier jour, les Guillaumes redescendent pour boucler la topo et déséquiper. Evidemment, lors de la topo, un nouveau méandre se révèle et part plein Est vers l'inconnu ! Arrêt sur P7 à descendre au bout de 80 m. Après report topographique, il semblerait que ce conduit se dirige vers une partie connue... Cette branche s'arrête vers -450 et est à 30 m en plan et 5 m de dénivelée du point le plus proche connu. Si c'est un accès au collecteur, ce n'est pas le plus direct ! Si on veut aller plus bas, il va falloir aller désober dans la trémie de la salle terminale à -512. A ce propos, on cherche des volontaires pour aller désober dans cette trémie arrosée. Climatisation assurée, le trou est à 4°C...

Les images donnent une idée des découvertes. En vert, les explos de 2017.

Comments

[Joseferris65]

Comme dab!

[spelmarie]

Je vois que Lionel ne répond pas : ça se passe au Cotiella, côté Armena (A351)...