Au Soubouistrou, la tect'Annick des plaques
C'est avec Annick et Guillaume - alternativement, garde d'Arnaud oblige - que j'ai pu retourner aujourd'hui au Soubouistrou. On s'est un peu attaqué à l'étroiture la plus ventilée, mais c'est du petit-petit. C'est au fond surtout qu'on a bossé, en démantelant à bout de bras les plaques qui couvrent la terre, activité où Annick excelle... d'où le titre. On a pu avancer de trois mètres, la photo montre ce qu'il y a derrière, c'est très bas, mais manifestement la terre ne rejoint pas le plafond, ce n'est qu'avec l'appareil photo à bout de bras qu'on a pu en être certains, car c'est encore fin au fond. Un peu avant le terminus, il y a une diaclase sur la droite, pas vraiment spacieuse, mais bien utile pour mettre les déblais. A noter que dans le laminoir aussi, il y a de l'air, mais moins fort qu'à l'étroiture. Du boulot encore en perspective !