Bufo fret... aspiro fret
Franck et Marie, de retour à la Peste Brune... qui ne se laisse pas faire comme ça. Pas mal de boulot, rien que pour atteindre le terminus de Jocelyn de la dernière fois (mais comment il a fait, pour passer ce truc ?). La suite obligera à péter quelques gros blocs, mais si la fissure est petite et qu'il y a du boulot pour l'atteindre, par contre l'air est très net, ça résonne, et on entend le doux clapotis de quelques gouttes qui tombent derrière. Elles ont du mérite, car le trou est au plus sec (même la pissotière dans le Couennu ne distille que parcimonieusement quelques gouttes).
Ayant mal compris les explications de Stoche, on a essayé de voir un passage au fond, mais sans air. Franck, ce qu'il fallait regarder, c'est juste au début du conduit remontant, là où l'eau coule, un peut-être passage entre des blocs. Rien vu... Par contre, c'est par là que l'air est le plus net.
Bon, je vais soigner mon genou bien endolori (heureusement que Franck a porté le plus lourd, sinon c'est moi qu'il aurait du porter au retour !)